En manque total d’inspiration, dans sa dernière parution, l’organe moribond, pompeusement appelé ‘’L’indépendant’’, qui n’a pas encore fini de faire le deuil du départ massif de ses journalistes, qu’il a dû licencier pour des problèmes de trésorerie,   n’a trouvé mieux que de s’en prendre à l’homme d’affaires, Kerfalla Camara, KPC, qu’il accuse de se livrer à Paris à « une noce managériale ».

Un homme pourtant adulé, n’en déplaise à ses détracteurs, de la jeunesse guinéenne, pour les vertus incontestables de grand Manager qu’il incarne. Une réputation qui a fini par franchir les frontières de son pays, la Guinée, qu’il aime tant, pour se répandre sur le continent africain et même au-delà, à travers l’Europe, l’Amérique et l’Asie.

Puis qu’il faut le dire désormais, au cours de la dernière décennie, Kerfalla Camara KPC, a pris d’importantes initiatives qui ont payé sur tous les plans et la participation active de GUICOPRES dont il est le PDG à l’épanouissement économique de la Guinée qui l’a vu naître et grandir et dans plusieurs pays du continent ( sa présence remarquable en Sierra Leone, en Cote d’Ivoire…) se passe de commentaires. Un combat ardu qui à juste raison lui vaut une reconnaissance quasi-unanime des dignes fils de l’Afrique.

Les médias sérieux comme Africa 24, TV5, Canal Horizons, Jeune Afrique consacrent des papiers à la fierté Panafricaine qu’est KPC.

Il est déplorable que des énergumènes continuent à croire qu’ils peuvent fouler au sol tous les investissements personnels, d’un homme guidé uniquement par le patriotisme, pour des intérêts égoïstement sordides défendus par ‘’des nains politiques’’ tapis dans l’ombre et qui tirent des ficelles, à travers leurs papiers kleenex puants appelés ‘’L’Indépendant’’.

Heureusement que le Président Directeur Général du groupe GUICOPRES, qui a une vision et qui pour ce faire a assez à faire dans le combat pour une Guinée émergente, toutes choses qu’il a en commun avec le président Alpha Condé, n’a point de temps pour faire attention à de telles machinations propres aux petits hommes.  Les chiens aboient la caravane passe !

La mauvaise foi de l’hebdomadaire du jeudi, qui ne parait que les vendredis ou les lundis suivants, est si manifeste qu’il va jusqu’à alléguer que  « les différents prix que s’offre KPC, l’invitation de la vedette de musique planétaire Akon (qui s’est trémoussé devant le président à Kassa), les publicités de GuiCoPress sur canal+, à coup de centaines de milliers de dollars, ne sont destinés qu’à attirer l’attention du chef de l’Etat guinéen et s’y faire plaire, auquel KPC veut se coller comme une sangsue ». Quelle excentricité ? Evidemment, il n’y a pas plus aveugle que celui qui refuse de voir.  Sinon, réduire tout le combat que mène KPC à une certaine manière destinée à attirer exclusivement l’attention du chef de l’Etat sur sa personne est une gymnastique étroite  tendant à calomnier contre la réputation de l’homme dont le seul crime est  d’aimer son pays. Et qui, par ce biais consacre toute son énergie et son temps  à la lutte pour la paix et la quiétude sociale, en faisant par exemple de la lutte contre Ebola, un sacerdoce.

En fait, le problème d’Aboubacar Sylla, leader d’un parti télécentre dont il seul membre avec son épouse, collé comme une sangsue à Cellou Dalein de l’UFDG, dont la condescendance lui a valu d’être élu député, c’est qu’il ne digère pas de voir, petit qu’il est, dans tous les sens possibles, plus grand que lui. Mégalomane à souhait, chez lui, tout le monde est petit, « petit secrétaire général… petit leader politique… petit ministre et… même petit premier ministre en s’adressant notamment à Mohamed Said Fofana … » au point que l’on serait tenté de se demander, mais qui est donc ce soi-disant prétendant au fauteuil présidentiel qui n’arrive même pas à gérer une entreprise de presse ou une école.

En effet, il ne se passe un trimestre sans que les enseignants de son groupe scolaire ‘’Sylla Lamine’’, qu’Aboubacar Sylla dit rapporter des milliards par an, ne débrayent. Quel paradoxe !

En utilisant les colonnes de l’Indépendant pour s’en prendre à KPC, les motivations d’Aboubacar Sylla sont très claires, c’est qu’il vole au secours de sa médiocre sœur, Ami Sylla, qui s’est retrouvée au hasard à la présidence, comme conseillère.

Mais qui, ne sachant guère s’y prendre, se montre incapable d’organiser le moindre forum. A l’image de celui tenu au Maroc  et qui a failli tourner   au fiasco, n’eut été les initiatives novatrices du même KPC qu’elle a tenté de torpiller, en voulant renvoyer aux calendes grecques la signature GUICOPRES-Mecomar. Ce jour, au lieu de s’occuper de l’organisation, Ami Sylla a plutôt organisé une orgie dans une chambre de l’hôtel qui a abrité le forum.

Et tous les Guinéens présents en avaient honte, car ça s’est ébruité par la suite. Et pour remercier KPC, Ami Sylla et sa bande d’escrocs dit ‘’hommes d’affaires’’ paumés s’attèlent, à tout prix, à trainer leur bienfaiteur dans la boue.

Qu’Aboubacar Sylla le sache et pour de bon, KPC n’est pas un arriviste et que pour être là où il est, il a dû travailler dur, en construisant sa vie, étape par étape.

Pour votre gouverne, son premier projet, en tant qu’entrepreneur, fut un contrat de désherbage, à lui attribué par le rectorat de l’université de Conakry. Un travail qu’il a accompli à la satisfaction de l’adjudicateur. La suite est connue car, aujourd’hui, le groupe Guicopres fondé en 1998 est la fierté de tous les Guinéens. En patriote accompli, et manager hors pair, KPC a fait du groupe Guicopres l’entreprise Guinéenne la plus connue, disons la plus brillante, sur le continent. Si cela vous empêche de dormir, sous peu, vous allez trépassez. Car, le meilleur est à venir. l’Afrique a célébré KPC et lui a reconnu ses mérites de manager qu’il fallait récompenser comme tel. Il est le meilleur de 2014, vous n’y pourrez rien.

En effet, KPC n’a jamais eu d’ennuis avec qui que ce soit dans ce pays et, avec le temps, les projets initiés sous CNDD, entretemps gelés, ont été un à un relancés, le pouvoir d’Alpha Condé ayant compris que l’homme d’affaires, n’avait, comme le prétendaient ses détracteurs, rien surfacturer. Voilà la vérité.

Enfin, pourrait-on se demander pourquoi certains hommes qui  voient à peine plus loin que le bout de leur nez, comme Aboubacar et Ami Sylla, redoutent tant le rapprochement de l’homme d’affaires le plus puissant du pays et même d’Afrique au N°1 des Guinéens, le Président patriote, Pr Alpha Condé. Comme le dit la chanson, les jaloux vont maigrir.
Marco Ibrahim, plume extérieur