A l’UFDG, principal parti d’opposition, ce n’est toujours pas le parfait amour entre le fondateur du parti Bah Oury et le président du parti et candidat malheureux à la présidentielle du 11 octobre 2015. Pour le dire en un mot comme en mille, les deux parties s’affrontent presque tous les jours par medias interposé. Lisez plutôt cette réaction sur la paternité du parti.

La propagande du système « mono-partisan » trouve de plus en plus d’adeptes. Dignes d’une absurdité surpuissante, ils fabriquent des gommages d’histoire et des repoussoirs d’avenir.

Dire que BAH Oury n’est pas fondateur de l’UFDG relève de la mauvaise foi et de la désinvolture d’un esprit en divagation. Mais c’est surtout une insulte pour ceux qui ont subi l’âpre dictature de Lansana Conté, pire si ces balivernes sont dites par ceux qui servaient de pieds pour marcher et d’yeux pour voir à son fameux régime.

C’est pour dire en effet que Cheick Chérif FADIGA, même s’il jure par son Saint avant de montrer ses limites pour la notion de militantisme; ses propos relèvent de la bassesse d’esprit et de la malhonnêteté intellectuelle.

C’est vrai que parfois il y en a qui, à peine arrivés dans les nuages tentent de refaire l’histoire, parce qu’ils sont champions en jeux de dés ; parfois géomanciens ou redoutables charlatans. Mais n’en déplaise à ces historiens vraiment hors-paires, « l’UFDG à des Racines et Ailes ».

Ces vaniteux prisonniers de leur vanité, entre frissons et couardises, s’adressant aux militants prétendent guérir des malades en les blessant les âmes. Ces braves militants en ont assez de ces larbins sans cape ni semelles qui rampent comme des vers de terre devant leurs responsabilités.

Que ces « Consuls de marbres » retournent chez leur Saint refaire l’histoire !

A bon entendeur salut !

Mohamed Lamine KEITA

Chargé de Communication de l’UFDG / France