Après la sortie de l’opposition pour annoncer l’organisation de deux journées « ville morte » les 30 et 31 janvier, le fondateur de l’UFDG et ancien vice-président exclu du parti s’est prononcé sur le sujet. Pour Bah Oury, le problème de diminution du prix de carburant à la pompe est une affaire syndicale. Pas logique selon lui que les politiques suivent les syndicalistes dans les revendications catégorielles.

Par ailleurs, M.Bah affirme qu’il y a eu trop de victime au sein de l’UFDG et que Cellou voudrait cacher quelque chose. Alors que « Cellou doit expliquer aux militants de l’UFDG ce qui s’est passé au sein du parti pour en arriver là ».

En tout état de cause, Bah Oury ne désarme pas et ne manque pas d’argument pour fustiger la gestion du parti qu’il a fondé.

Mohamed Soumah