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La gestion du projet reste aujourd’hui une chose très capitale pour les entreprises, les associations, ainsi que les départements ministériels. Aujourd’hui, Chacun se sert à sa réalisation pour en avoir des financements forts.  Alors que ce domaine à toujours besoin d’une formation comme toutes les autres métiers.

Malgré cela, on contenue à confier des projets à des personnes qui n’ont pas un certain nouveau en la matière. Au regard de cela, le fondateur et vice-président du Réseau Guinéen et spécialiste du projet, Mr Baldé Mamadou Diouhaya, a accepté de se confier à notre rédaction.

Pour le fondateur et vice président du Réseau Guinéen et spécialiste du projet, Mr Baldé, l’objectif c’est de faire comprendre aux guinéens que le métier de la gestion du projet est devenu aujourd’hui un métier   à part entier. C’est un métier qui a besoin d’une formation comme tous les autres métiers qui ne s’improvisent pas. Donc, notre objectif est de réunir tous les spécialistes de la gestion du pays qui ont parfois le diplôme dans ce domaine et qui ont un certain nouveau pour créer un échange d’espace et de partager l’expérience afin de faire profiter les autres qui sont impliqués dans le domaine du projet, a-t-il affirmé.

Plus loin, il dira : « Notre engagement c’est de réduire le taux d’échec du projet parce que le constat est que ça soit en Guinée ou dans les autres pays étrangers, tout le monde parle aujourd’hui du projet, alors que le taux d’échec est très élevé. Cela veut dire qu’on fait profiter la gestion du projet aux personnes qui ne sont mêmes pas les spécialistes parce que tout simplement, qu’on confond souvent la partie technique à la partie de la gestion.

La différence entre nous et les autres, c’est la spécialisation. C’est vraie que nous tous on na fait la même formation dans ce domaine, mais nous notre formation de base, on n’est allée nous spécialisé. Notre association est aujourd’hui formée avec des jeunes qui ont tous Bac+5 et qui se sont spécialisés en gestion du projet. Les difficultés liées à ce problème est que aujourd’hui, c’est rare de voir ce qui ont les compétences de la gestion du projet n’ont pas la main mise sur le projet. L’autre problème est très écurent dans ce pays, c’est que aujourd’hui tout ce qui gère ce domaine, c’est des amateurs. Ils ne connaissent pas ce qui est au fond de la réalisation d’un projet. Notre partenariat avec l’État, se passent très bien mais, il faudrait qu’il accepte de nous écouter. Ça y va dans l’intérêt de notre pays, pour les entreprises et toute autre association. Qu’il accepte de discuter avec les professionnels qui ont la maitrise de ce domaine ». a-t-il conclu.

Daouda Yansané

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