Université  Foulaya dans la Région Administrative de Kindia, jadis, creuset de la formation, est devenue de nos jours, un lieu de prostitution, car elle est demeure, la destination des pervers noctambules qui  viennent s’y approvisionner nuitamment.

 

Mais pourquoi ces filles dites étudiantes, se livrent-elles à la prostitution en milieu scolaire ?

La réponse ne se trouve pas ailleurs, elle est là sous les yeux des parents qui ont démissionné non seulement dans l’éducation des enfants mais aussi dans l’encadrement de leurs progénitures. Généralement, ce sont des étudiantes dont les parents sont incapables de leur envoyer des sous pour la satisfaction d’un lot de besoins. Ces besoins peuvent être liés au payement des brochures, de la nourriture, des frais de loyers et autres…

Tout cela est dû  au retard régulier dans le payement des bourses des étudiants. Un acte qui a des conséquences sur les étudiantes dont les parents sont moins nantis.

Les pervers de professeurs et autres lions affamés guettent la nuit pour venir pêcher de pauvres étudiantes du campus pour des Motels.

Pire !  Dans ces motels à Kindia, certaines filles, ayant pris goût, écrivent leurs contacts téléphoniques sur les placards des motels, histoire de  permettre même aux étrangers de les joindre dès lors que ceux-ci en manifesteront le désir.

Pour s’en convaincre, un tour suffit dans certains motels de la ville de Kindia, affectueusement appelée ‘’la cité des agrumes’’.

Aujourd’hui, des motos- taxi, taxis et voitures personnelles sont très fréquents la nuit à la rentrée principale et environs de l’Université FOULAYAH, siège des ‘’belles demoiselles’’ prêtes à tout moment pour la prostitution qui leur est bénéfique dit-on. Que c’est dommage ! Très dommage.

A l’heure qu’il est, beaucoup d’étudiantes risquent d’abandonner les études ou tomber enceinte pour faute de soutien au profit de la prostitution, leur source de revenu. Révèlent nos sources, dignes de foi.

Que faut-il faire aujourd’hui pour sauver ces filles ?

Sannou Camara 65 13 00 33