La trente sixième session ordinaire de la conférence des chefs d’Etat et de Gouvernement de la CEDEAO tenu a Abuja le, 22 juin 2009 dont le communiqué final avait évoqué le cas concernant la situation du retour de la Guinée a l’ordre constitutionnel par l’organisation des élections en Guinée en ces termes: « Les chefs d’Etats et de Gouvernement ont exprimé leurs inquiétudes quant au manque de volonté politique dans la mise en œuvre du chronogramme consensuel vers le retour à l’ordre constitutionnel. La CEDEAO exhorte le CNDD à respecter son engagement pour la restauration de l’ordre constitutionnel en autorisant toutes les activâtes des partis politiques ».
Malgré l’appelle de la CEDEAO et le départ des militaires au pouvoir par une élection présidentielle transparente, réussie, crédible, indépendante, acceptée avec 24 candidats au premier tour, l’organisation des élections législatives, les politiciens n’arrivent toujours pas à organiser les élections communales et communautaires, 6 ans après de rudes combats politiques.
Ce manque à gagner politique est dù au manque de confiance entre les acteurs politique et qui est une menace de la stabilité, jusqu’dans la racine profonde de la paix. Avec les débats du dialogue de la survie politique les leaders une fois de plus prouvé à suffisance leurs insouciances par rapport aux attentes des guinéens pris dans l’étau par les politiciens véreux.
Sans exagérer, voter n’a jamais changer le quotidien du guinéen depuis 1958 jusqu’à présent. Toute les fois que l’on a médité sur la vie des guinéens, ont trouve des nouvelles raisons de douter au regard du présent pour croire à un avenir radieux.
Les politiciens ont divisé la population en troupeaux de bétail, dont chaque bétail à son chef qui le garde pour le dévorer au moment venu.
La Guinée traverse une crise de confiance et de leadership depuis 1958.
L’Etat, na jamais été capable d’assurer à la population sa première mission qui consiste à protéger les plus faibles.
Le bilan des 57 ans d’indépendance sont entre autres 5eme colonne, camp BOIRO, pendaison , arrestation arbitre , alcool , sida , les massacres du 28 septembre 2009, détournement des fonds publics, belles voitures, insécurité , crimes ,discrimination , ethnocentrisme , chômage ,laxisme a tous les niveau, excusez du peu la liste est longue.
La crise est profonde et il est temps de s’attaquer aux causes pour franchir le RUBUCON POLITIQUE et libérer le peuple martyr de Guinée.
DIALLO Amadou Lamarana
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