Complètement meurtri par le drame survenu à Dar-es-Salam, le président du Conseil National du Patronat Guinéen (CNP-Guinée), El Hadj Mohamed Habib Hann, accompagné des membres du Bureau exécutif de cette organisation patronale du pays   a rendu très récemment la visite aux parents et proches des victimes de la tragédie qui vient de se produire dans le quartier il y a de cela quelques jours. Une tragédie provoquée par une forte pluie qui a repoussé la montagnes d’ordures sur les maisons d’habitations des citoyens de la localité occasionnant la mort à d’une dizaine de personnes et des blessés.hh

Dans son intervention, le président du Conseil National du Patronat Guinéen (CNP-Guinée), El Hadj Mohamed Habib Hann a déploré la catastrophe qui est survenue dans le quartier de Dar-es-Salam. Avant de déclarer : « On s’est uniquement déplacé aujourd’hui pour venir partager ces moments très difficiles avec mes frères de Dar-es-Salam qui sont victimes de cette catastrophe. J’ai le cœur très meurtri et pincé par cette tragédie et je viens pour souhaiter au nom du Bureau Exécutif du CNP-Guinée (Conseil National du Patronat-Guinéen) et à mon personnel les condoléances les plus attristées aux parents et proches des victimes   de la catastrophe qu’on a enregistrée très récemment. Car, c’est un devoir pour tout citoyen guinéen de quitter là où il se trouverait   pour venir partager les moments difficiles avec d’autres fils Guinéens en cas de problème également », va-t-il déclaré.

Avant de rappeler : « Nous avons tous besoin aujourd’hui de se donner la main pour trouver des solutions valables à ces genres de situation. On est tous victimes d’une catastrophe. On est tous lié et toutes les familles sont affectées en cas d’une telle tragédie », a précisé Mohamed Abib Han

Devant des victimes et ses compagnons, il a lancé un appel     à l’endroit de tout le peuple de Guinée, au Gouvernement, au secteur Privé Guinéen et aux partenaires au développement de se mobiliser davantage pour l’accompagnement de ces pauvres citoyens de Dar-es-Salam.

Tout en rappelant qu’on ne peut parler de développement radieux aujourd’hui, c’est lorsqu’il y a la paix, la quiétude sociale, la santé et la sécurité au sein d’une société.

Daouda Yansané