A l’occasion d’une conférence de presse ce mardi 25 juin 2019, l’écrivain guinéen, Thierno Monènembo a donné les raisons de son adhésion au Front National pour la Défense de la Constitution.
En compagnie des membres fondateurs dudit front, l’écrivain a dit que c’est pour défendre la loi en Guinée qu’il a décidé d’adhérer à cette organisation.
« J’adhère au FNDC, parce que je suis d’accord avec ce qu’ils font,
avec leurs idéaux de lutte contre la nouvelle constitution, et surtout
de faite qu’ils défendent la constitution dans la mesure où ils ne
sont pas manipulé pour les intérêts personnels. Il faut défendre la
loi en Guinée, il faut faire en sorte que celui qui dirige la Guinée
ne soit pas seul à bénéficier de la loi afin que qu’elle soit pour
tout le monde »
Devant des hommes de medias, il a declaré que changer la constitution est d’exposer la Guinée à tous les dangers.
« Dans les conditions actuelles, changer la constitution c’est d’exposer le
pays à des dangers de divisions et de guerre civile et du danger de
recule démocratique économique du pays. Alors nous allons imposées au
gouvernement actuelle de respecter la démocratie, en plus nous allons
combattre en sorte que le gouvernement recule sur ses principe »,a-t-il declaré.
Avant de conclure ses propos, il a prodigué d’utiles conseils au président Alpha Condé. « Aujourd’hui Alpha Condé est à la fin de son 2ème
mandat, il a été élu sur la base de cette constitution, puis qu’il ne
veut pas rendre la clé, il va modifier la constitution. Il agit à
son propre intérêt personnels, les intérêts nationaux ne sont pas mis
dans le débat, et ce dramatique, parce que la constitution, garantie
tout la stabilité de l’Etat. Nous avons tous droit d’intervenir pour la
défense de la constitution, nous devons tout faire pour que la Guinée
appartient aux propriétaires de ce pays, il n’appartient pas à un
parti politique, ni à un individu, ni à une ethnie. Alors il est
temps que la Guinée sorte de cela. Donc c’est un combat que nous
commençons a mené maintenant c’est un combat qu’intéresse tout le
monde »
Daouda Yansané
