A cause de ses pratiques peu catholiques,  notamment des arrestations  et détentions arbitraires,  des tires à balles réelles sur des citoyens comme ça été le cas lundi dernier  au barrage de Lansanah Barrage où deux personnes ont été tuées par  les agents de police du commissariat central de Dapompa, en haute banlieue de Conakry, l’Union européenne qui soutien les projets de formation et d’équipement  de la police nationale a décidé de ne plus donner de l’argent à la Guinée. L’information a été révélée ce jeudi.

En Guinée, c’est un secret de polichinelle. Les forces de défense semblent avoir droit de vie sur les paisibles citoyens. Difficile de passer 24 heures sans enregistré des bavures policières avec malheureusement, des morts d’hommes qui sont enregistrés presque à chaque opération policière.

L’union européenne qui  œuvre pour la  professionnalisation de la police depuis des années en Guinée, ne comprend donc pas que les citoyens soient toujours la cible des tires à balles réelles.

Dans cette répression sanglante contre les population, un doit accusateur est pointé sur le direction centrale de la police judiciaire, le général de brigade Aboubacar Fabou Camara  et du Commandant  de la brigade de recherche et d’investigation, le très controversé Mohamed Lamine Simankan. Ces deux officiers supérieurs de la police sont connus pour la répression sanglante des populations à toute épreuve.

Aux dernières nouvelles, le Ministre de la Sécurité, Damantang Camara tente de justifier l’injustifiable en soutenant que ce n’est pas toute la police qui est sanctionnée, mais la la brigade de recherche et d’investigation.

 

Naby Camara