Le moins que l’on puisse dire c’est que le mouvement syndical ne voudrait pas se laisser faire. Après la plus grande centrale syndicale, c’est autour du syndicat de l’éducation qui voudrait se faire entendre
Cette centrale syndicale divisée entre Aboubacar Soumah et Kadiatou Bah.

La secrétaire générale du SLECG versipn Kadiatou Bah revendicative la situation des salaires des fonctionnaires, le statut des enseignants contractuels et beaucoup d’autres choses. Et elle exige du gouvernement :

– La révision du Statut particulier des personnels de l’Éducation Pré-Universitaire et de l’Enseignement Technique conformément à celui de l’enseignement Supérieur ;

– Le relèvement de la valeur monétaire du point d’indice et la pension de retraite de 1030 à 2000 ;

– La révision des primes d’incitation pour tout le personnel enseignant et encadrant ;

– L’engagement des enseignants contractuels et communautaires à la Fonction Publique ;

-L’uniformisation de toutes les primes et indemnités citées ci-après et conformément à ceux de l’enseignement supérieur :

* Prime de préparation

*Prime de craie

* Prime de logement

*Prime d’allocation familiale

*Prime d’indemnité de zone

* Prime de documentation

* Prime d’encadrement pédagogique

*Prime de fonction.

« L’application des textes règlementaires au niveau de l’enseignement privé, la dépolitisation de l’administration… L’intersyndicale de l’Éducation, toujours soucieux de la quiétude sociale et de la paix, invite incessamment le gouvernement à ouvrir le couloir de négociation en vue d’éviter d’éventuelles crises au sein du système Éducatifs ».

Aux dernières nouvelles le SLECG a déposé le préavis de grève ce jeudi matin.

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