Les appels à la libération du secrétaire général du syndicat des journalistes sont tombés dans les oreilles de sourds.
C’est du moins ce qui ressort de la sentence prononcée ce vendredi, jour saint pour les musulmans contre Sékou Jamal Pendessa.
Le Président du Tribunal de première instance de Dixinn, Mory Bayo dans sa sentence a déclaré le journaliste coupable des faits qui lui sont reprochés.
Pour la répression, il a été condamné à 6 mois de prison dont trois assortis de sursis et au paiement d’une amende de 500 mille GNF.
Une décision injustifiée contre laquelle l’avocat Me Salifou Béavogui a annoncé faire appel dès la semaine prochaine. Pauvre Guinée.
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