Guinée : le chef de la junte fait appel à Baidy Aribot pour faire le sale boulot !
Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ancien Directeur Général du Fonds minier où il a fait fortune, Ministre puis vice-gouverneur de la Banque centrale sous le magistère Alpha Condé viens d’être chargé du sale boulot par le chef de la junte.
Faire en sorte que la candidature du Général Mamady Doumbouya, fraichement autoproclamé soit une réalité pour les prochaines élections présidentielles.
Peu importe le sextape et les nombreuses images distillées ça et là pour montrer le passé peu catholique de Baidy Aribot aux guinéens.
Peu importe les plaintes de l’Etat et des sociétés minières qui le visent dans les contrats miniers par le passé.
Le chef de la junte vient de lui jeter son dévolu pour faire le sale boulot.
Pour le dire en un mot comme en mille, l’Homme est connu pour sa passion à privatiser l’espace public. Selon ses inconditionnels, il reste le seul maître à bord dans la mobilisation des jeunes et femmes dans la presqu’ile de Kaloum, commune qui abrite l’administration, banques, sociétés et grandes entreprises.
Accusé de tous les maux y compris ceux des cieux, Baidy semble ne pas être n’importe qui. Il vient de bénéficier des largesses du chef de la junte.
Mamady Doumbouya aurait donné des instructions fermes au gouverneur de la Banque Centrale Karamo Kaba pour autoriser Baidy Aribot à reprendre le service de nouveau à la banque centrale de la République de Guinée, son service d’origine dans l’administration.
Il est vrai que Baidy Aribot n’est pas le seul ancien travailleur de la banque centrale. Ils sont sans doute nombreux qui ont quitté la banque centrale pour occuper des postes ministériels ou autres fonctions administratives. Mais ces anciens cadres de la banque centrale, pétrirent pourtant de talents n’ont jamais été autorisé à reprendre le travail à la Banque Centrale.
En tout cas, comme affirmait Albert Einstein, « À priori, si une idée n’est pas absurde, elle est sans espoir ».
En tout cas, comme affirmait Albert Einstein, « À priori, si une idée n’est pas absurde, elle est sans espoir ».
Il reste maintenant à savoir comment Baidy Aribot, mouillé jusqu’au bout par des affaires de sexes et de fesses va soigner l’image ternie du chef de la junte, général Mamady Doumbouya.
Mohamed SOUMAH