A ce stade des choses, il est difficile de dire si les appels incessants pour un retour à l’ordre constitutionnel seront entendus. La seule certitude, c’est que le chef de la junte fait la sourde oreille.
Politiques, activistes de la société civile et les populations dénoncent le laxisme du chef de la junte dans la gestion des affaires de l’Etat.
Pas si évident que ces appels soient entendus avec la tournure des événements.
Pendant ce temps, la cherté de la vie, le grand banditisme gagne du terrain. Il en est de même que des difficultés de tout genre des populations. Il en est de même que les menaces pour en découdre avec le chef de la junte.
Mais tout ça, n’augure pas de lendemains meilleurs pour la Guinée et les guinéens.
Mohamed SOUMAH