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Aucun chef d’Etat guinéen n’aura résisté à leurs finasseries. De Conté à Condé, tous ont été roulés dans la farine par les mouvements de soutien de tout acabit. Le procédé est toujours le même. Les échéances électorales ou les modifications constitutionnelles ou encore le piétinement de la charte d’une transition constituent les événements privilégiés pendant lesquels le discours flagorneur peut passer.