Le moins que l’on puisse dire, c’est que les membres du Front National pour la Défense de la Constitution ont été de nouveau endeuillé ce lundi, lors de l’inhumation des 9 ou 11 victimes, c’est selon des sources gouvernementales ou sources du FNDC, des manifestations politique des 14, 15 et 16 octobre dernier pour dénoncer la volonté du président Alpha Condé de briguer un troisième mandat à la tête de l’Etat.
Selon nos reporters sur le terrain, ils étaient des milliers de personnes à faire le déplacement de l’hôpital sino-guinéen de Kipé pour accompagner à leurs dernières demeures, les victimes au cimetière des « martyrs de Bambeto ».
Selon nos reporters sur le terrain, des heurts ont aussitôt éclaté entre force de défense et de sécurité et personnes qui accompagnaient les corps à leur dernière demeure. Des jets de pierres contre gaz lacrymogènes ont été suivis de coups de feu à balles réelles.
Ce n’est pas tout car une course poursuive s’est engagée contre les personnes endeuillées jusque dans les concessions où force de défense et de sécurité ont procédé à des arrestations.
Bilan de cette soirée, au moins un morts et une dizaine de blessé par balles réelles selon des sources hospitalières, notamment l’hôpital Mère et enfant de de Kipé où le corps du jeune homme tué et des blessés se trouvent au moment où nous allions sous presse.
Il y a aussi eu des personnes interpellées, meme si nos reporters n’ont pas de chiffre en main.
Aux dernières nouvelles, la direction générale de la police nationale, a annoncé une conférence de presse pour les heures qui suivent.
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