Les  Nations-Unies, l’Union africaine, la CEDEAO, l’Union européenne, la France et les Etats-Unis à présent, excusez du peu la liste est longue, la Guinée est devenue la risée du monde.

Le Président  Alpha Condé avait penser qu’en déployant son administration pour bourrer les urnes, la technique n’allait pas être connue.  Que nenni.La communauté internationale grâce à la synergie des radios privées a fini par découvrir  la recette du chef de l’Etat guinéen qui lui a permis d’obtenir des scores soviétiques de plus de 100%.

Dans une déclaration, le pays de Donald Trump n’est pas allé de main morte contre la tehnique utiisée par Alpha Condé pour gagner les élections. Lisez plutôt: « les États-Unis prennent note de l’annonce par la Commission Électorale Nationale Indépendante guinéenne des résultats provisoires de l’élection présidentielle du 18 octobre. Nous sommes préoccupés par les questions soulevées par les observateurs électoraux et la société civile sur le manque de transparence dans la compilation des votes et les incohérences entre les résultats annoncés et les résultats des procès-verbaux (PV) des bureaux de vote. Nous exhortons toutes les parties à résoudre pacifiquement les différends électoraux à travers des institutions établies et non partisanes et d’un dialogue ouvert à tous.  Les États-Unis condamnent la violence et les violations signalées des droits de l’homme en marge des élections du 18 octobre. Nous exhortons les autorités à enquêter immédiatement sur les allégations de recours excessif à la force par les forces de sécurité et à garantir la justice pour les victimes de violence et la responsabilité des coupables. Nous exprimons nos condoléances aux familles des victimes et souhaitons un plein rétablissement aux blessés.  Nous réitérons notre soutien aux efforts diplomatiques de la CEDEAO, de l’Union Africaine et des Nations Unies. Nous exhortons tous les dirigeants et citoyens guinéens à travailler ensemble pour renforcer la démocratie du pays et protéger les droits fondamentaux, notamment la liberté d’expression et de réunion pacifique ».