Lieutenant Colonel Mamady Doumbouya, head of the Army’s special forces and coup leader, waves to the crowd as he arrives at the Palace of the People in Conakry on September 6, 2021, ahead of a meeting with the Ministers of the Ex-President of Guinea, Alpha Conde. - Lieutenant Colonel Mamady Doumbouya, the leader of the latest coup in Guinea, is a highly educated, combat-hardened soldier who once served in France's Foreign Legion. Doumbouya's special forces on September 5, 2021 seized Alpha Conde, the West African state's 83-year-old president, a former champion of democracy accused of taking the path of authoritarianism. (Photo by CELLOU BINANI / AFP)

Le moins que l’on puisse dire, c’est le lot quotidien des manifestations à l’appel de l’opposition en Guinée. Pas une seule manifestation sans que des familles  n’enregistre des cas de morts.

C’est le cas ce 5 septembre 2023 où des échauffourées ont éclaté entre forces de l’ordre et manifestation dans les quartiers réputés proches de l’opposition.

Les  Forces Vives de Guinée qui ont appelée à la manifestation pour fêter à leur manière l’AN 2 de la prise du pouvoir par le  Colonel Mamady Doumbouya.

Les forces vives dans un communiqué affirment avoir recensé deux morts et plus d’une dizaine de blessés par balles réelles, dit-on.

Pour l’heure, il est difficile de vérifier ces informations par une source indépendante.

Dans le  communiqué, les forces vives parlent de la mort de deux jeunes, fauchés par balles et une dizaine de blessés.

Le communiqué donne des noms. Il s’agit de Mamadou Pathé Diallo, âgé de 18 ans et Souleymane Diallo,  âgé lui de 16 ans.

La même source impute la responsabilité des tueries aux forces spéciales du Colonel Mamady Doumbouya.

 

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