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Tchad: 19 morts dans  l’attaque du palais présidentiel(gouvernement )

Des tirs nourris ont été entendus dans la soirée de mercredi 8 janvier dans le centre de la capitale tchadienne Ndjamena, près de la présidence. Selon le porte-parole du gouvernement cité par l’AFP, 19 personnes sont mortes dont 18 assaillants.

Le calme semble être revenu dans la capitale du Tchad depuis environ 21h30, heure locale. Après de longues minutes où les échanges de tirs ont été nourris dans le quartier Djambel Bahr, proche de la place de la Nation où se situe le vaste complexe du palais présidentiel, mais sans pouvoir les localiser précisément.

Vers 20h15, de nombreux militaires ont été déployés dans les rues adjacentes et pourchasser des personnes non identifiées. On a aussi entendu des avions décoller. Progressivement, les tirs nourris sont devenus plus sporadiques pour finalement s’arrêter définitivement aux environs de 21h.

Des vidéos circulent désormais sur les réseaux sociaux où l’on peut voir des cadavres de personnes habillées en civil joncher le sol. Des vidéos partagées par des sources officielles souhaitant pour le moment rester anonymes.

Le bilan de l’attaque contre le palais présidentiel s’élève à 19 morts, dont 18 parmi les assaillants, a précisé à l’AFP le porte-parole du gouvernement. Le commando lourdement comptait « 24 personnes », a indiqué Abderaman Koulamallah. « Il y a eu 18 morts et six blessés [côté assaillant, NDLR] et nous déplorons un mort, trois blessés dont un grièvement », a-t-il précisé.

À 19h45 heure locale, de nombreux échanges de tirs à l’arme légère, mais aussi d’artillerie, ont été entendus dans le quartier de la présidence du Tchad, à Ndjamena. Des combats de rue sont également en cours dans l’avenue longeant le palais Toumaye. On ne sait pas si le président Mahamat Idriss Déby est sur place.

On ne sait pas encore qui a provoqué cette attaque. Certaines sources proches des autorités évoquent le groupe jihadiste Boko Haram. Le procureur est attendu dans la soirée pour donner des explications à la population.

Le gouvernement tchadien affirme que la situation est « sous contrôle »

Selon le ministre des Infrastructures, Aziz Mahamat Saleh, la situation est « sous contrôle », mais il ne donne pas d’information sur les personnes impliquées dans les combats.

Le ministre des Affaires étrangères Abderamane Koulamallah a aussi fait une déclaration depuis l’intérieur de la présidence tchadienne. Dans une vidéo diffusée sur Facebook, celui qui est aussi porte-parole du gouvernement affirme, un pistolet à la ceinture, que la situation est « sous contrôle » et qu’il ne s’est « rien passé de grave ».

Il parle tout de même de tentative de déstabilisation, mais explique qu’il ne lui est pas encore possible de dire les raisons de ces échanges de tirs nourris.

« Je suis actuellement à la présidence de la République où la situation est totalement maîtrisée. Il n’y a aucune crainte. Il n’y a rien de grave. Nous ne pouvons rien dire pour l’instant, mais la situation est totalement sous contrôle. Nous attendons l’arrivée du procureur de la République pour vous montrer la réalité de ce qui s’est passé. Mais d’ores et déjà, je voudrais rassurer l’ensemble des Tchadiens que la situation est sous contrôle. C’est un petit incident qui s’est passé et je viendrai longuement tout au long de la soirée pour dire ce qui s’est passé », a déclaré mercredi soir le ministre des Affaires étrangères.

Ces tirs ont eu lieu quelques heures après la visite à Ndjamena du ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, qui a eu plusieurs entretiens avec des dirigeants tchadiens, dont un à la présidence avec le chef de l’État Mahamat Idriss Déby.

Des tirs nourris ont été entendus dans la soirée de mercredi 8 janvier dans le centre de la capitale tchadienne Ndjamena, près de la présidence. Selon le porte-parole du gouvernement cité par l’AFP, 19 personnes sont mortes dont 18 assaillants.

Le calme semble être revenu dans la capitale du Tchad depuis environ 21h30, heure locale. Après de longues minutes où les échanges de tirs ont été nourris dans le quartier Djambel Bahr, proche de la place de la Nation où se situe le vaste complexe du palais présidentiel, mais sans pouvoir les localiser précisément.

Vers 20h15, de nombreux militaires ont été déployés dans les rues adjacentes et pourchasser des personnes non identifiées. On a aussi entendu des avions décoller. Progressivement, les tirs nourris sont devenus plus sporadiques pour finalement s’arrêter définitivement aux environs de 21h.

Des vidéos circulent désormais sur les réseaux sociaux où l’on peut voir des cadavres de personnes habillées en civil joncher le sol. Des vidéos partagées par des sources officielles souhaitant pour le moment rester anonymes.

Le bilan de l’attaque contre le palais présidentiel s’élève à 19 morts, dont 18 parmi les assaillants, a précisé à l’AFP le porte-parole du gouvernement. Le commando lourdement comptait « 24 personnes », a indiqué Abderaman Koulamallah. « Il y a eu 18 morts et six blessés [côté assaillant, NDLR] et nous déplorons un mort, trois blessés dont un grièvement », a-t-il précisé.

À 19h45 heure locale, de nombreux échanges de tirs à l’arme légère, mais aussi d’artillerie, ont été entendus dans le quartier de la présidence du Tchad, à Ndjamena. Des combats de rue sont également en cours dans l’avenue longeant le palais Toumaye. On ne sait pas si le président Mahamat Idriss Déby est sur place.

On ne sait pas encore qui a provoqué cette attaque. Certaines sources proches des autorités évoquent le groupe jihadiste Boko Haram. Le procureur est attendu dans la soirée pour donner des explications à la population.

Le gouvernement tchadien affirme que la situation est « sous contrôle »

Selon le ministre des Infrastructures, Aziz Mahamat Saleh, la situation est « sous contrôle », mais il ne donne pas d’information sur les personnes impliquées dans les combats.

Le ministre des Affaires étrangères Abderamane Koulamallah a aussi fait une déclaration depuis l’intérieur de la présidence tchadienne. Dans une vidéo diffusée sur Facebook, celui qui est aussi porte-parole du gouvernement affirme, un pistolet à la ceinture, que la situation est « sous contrôle » et qu’il ne s’est « rien passé de grave ».

Il parle tout de même de tentative de déstabilisation, mais explique qu’il ne lui est pas encore possible de dire les raisons de ces échanges de tirs nourris.

« Je suis actuellement à la présidence de la République où la situation est totalement maîtrisée. Il n’y a aucune crainte. Il n’y a rien de grave. Nous ne pouvons rien dire pour l’instant, mais la situation est totalement sous contrôle. Nous attendons l’arrivée du procureur de la République pour vous montrer la réalité de ce qui s’est passé. Mais d’ores et déjà, je voudrais rassurer l’ensemble des Tchadiens que la situation est sous contrôle. C’est un petit incident qui s’est passé et je viendrai longuement tout au long de la soirée pour dire ce qui s’est passé », a déclaré mercredi soir le ministre des Affaires étrangères.

Ces tirs ont eu lieu quelques heures après la visite à Ndjamena du ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, qui a eu plusieurs entretiens avec des dirigeants tchadiens, dont un à la présidence avec le chef de l’État Mahamat Idriss Déby.

Source: RFI

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