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Societé minière GAC: Droit de réponse de Mamady Youla

Suite à une alerte des travailleurs de la société minière GAC dont plusieurs centaines sont en chômage technique, la réaction de l’ancien Premier ministre du président Alpha Condé ne s’est pas fait attendre suite à notre publication.
Pour Mamady Youla qui menace d’intenter une action judiciaire, l’article est dénué de tout fondement.
Loin de nous d’engager des polémiques,  les faits relatés sont d’actualité puisque les travailleurs sont en chômage technique,  nous vous proposons chères lectrices et lecteurs le Droit de réponse que Mamady Youla a bien voulu publier sur sa page Facebook. Lisez plutôt…

DES ORGANES D’INFORMATION ET DES JOURNALISTES QUI FONT LA HONTE DE LEUR PROFESSION

C’est avec une certaine consternation que j’ai pris connaissance d’un article qui m’a été transmis par une de mes relations; il s’agit d’un article à charge contre ma personne, publié sur le site GUINEELIVE.COM, dont le lien figure au bas de ces notes.

Je voudrais m’adresser au gratte-papier, auteur de ce brûlot, et aux responsables du site susmentionné, pour leur demander de bien vouloir publier dans leurs prochains articles toutes les preuves de leurs allégations ainsi que tous les éléments à même d’étayer leurs graves accusations, afin de mieux édifier leurs lecteurs et l’opinion nationale, si telle est bien leur intention.

Il va sans dire que je récuse les allégations mensongères et malveillantes de ce torchon et condamne avec la dernière énergie ces pratiques au travers desquelles, des personnes sans foi ni loi, de façon gratuite et irresponsable, cherchent à porter atteinte à la réputation d’honnêtes citoyens. Vous ne pouvez pas continuer de vous cacher derrière l’anonymat d’un site internet, et pour quelques deniers du déshonneur ou le salaire de la honte, et porter atteinte à des citoyens que vous ne connaissez même pas. CES PRATIQUES DOIVENT CESSER.

Étant donné la gravité de vos accusations, je vous demanderais de bien vouloir apporter la preuve de ces accusations ou de publier la présente note en guise de droit de réponse. Faute de quoi, je me réserve le droit de porter plainte contre le site et l’auteur de l’article tant aux niveaux de la HAC que des juridictions pénales compétentes.