Les travaux de la 6è assemblée générale du PROJEG, Programme de Renforcement des capacités des Organisations de la société civile et de la Jeunesse Guinéenne se poursuivent à Kindia avec comme slogan : se concerter pour relever ensemble les défis de la Guinée.
Au cours de la première journée, les 160 participants venus de toutes les parties de la Guinée et la vingtaine de participants venus de l’étranger avec les délégations Marocaine, Algérienne, Mauritanienne et Congolaise ont eu droit à des thématiques alléchantes. Les mérites du projet ont été campés par les délégations officielles ainsi que le rôle prépondérant que les organisations guinéennes jouent en France.
C’est à la suite de ça que deux groupes de communication ont été constitués au tour du rapport moral et financier. Des questions posées par les participants ont soulevé des suggestions, remarques et amendements sur le rapport.
De cette première journée, on retiendra qu’il faut questionner les pouvoirs publics, le renforcement de la crédibilité des organisations de la société civile, le parachèvement de la mise en place des institutions républicaines afin que les organisations de la société civile joue pleinement leur rôle.
Pour cette deuxième journée, les participants ont eu droit à la présentation du mandat du comité de pilotage qui assure l’orientation et le suivi du programme et veille à la transparence administrative et financière.
Pour l’expérience Algérienne, le représentant du pays de Abdel Aziz Boutefliha a indiqué sans ambages que le travail des organisations de la société civile dans on pays n’est pas très facile. Mais avec la collaboration entre société civile algérienne et française, la réflexion entre acteur a été renforcée ainsi que le dialogue entre pouvoir public et organisation de la société civile. A ce jour dira l’orateur, il existe 120 000 associations agrées en Algérie.
Pour le cas du Maroc, il y a le REMAJEC, réseau marocain de la jeunesse et concertation qui a été crée le 4 mars 2011 pour une vision concertée du développement du Maroc. Avec la citoyenneté et accès aux droits économiques, sociale et solidaire. Le tout s’inscrit dans la coopération nord-nord, sud-nord. L’objectif étant de constitué un espace de dialogue, de concertation et de réflexion entre acteurs. A ce jour, il y a 77associations à travers le pays, notamment dans les régions avec au menu de privilégié l’approche participative.
La société civile du Congo Brazzaville selon certains participants est en passe de réussir son travail dans le cadre de la transparence dans l’exploitation du pétrole au pays. Malgré les emprisonnements des acteurs de la société civile de ce pays, le travail qui se fait en partenariat avec les organisations de la société civile France se passe plutôt bien.
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