La radio Nostalgie, première radio privée de Guinée qui appartient à Souhel hajjar, deuxième vice-président de l’URTELGUI, union des radios et télévisions libre de Guinée a passé la journée de ce lundi a insulté et à menacer de mort le fondateur du site www.guineelive.com.
Le crime du site fondé par Almamy Kalla CONTE est d’avoir publié un article sur un problème de drogue à l’aéroport international de Conakry Gbessia. Le journaliste auteur des insultes contre le fondateur de Guineelive a pour nom « Kolenten».
Précision de taille, Kolentin a donné le nom de son enfant au richissime homme d’affaire Antonio Souaré. Ce qui lui donne vraisemblablement la carte blanche pour insulter tous ceux qui ne pensent pas comme lui en parlant de Antonio Souaré.
Alors mon cher Kolentin, c’est ton droit de donner le nom de ton enfant à Antonio Souaré parce qu’il est riche. C’est ton droit le plus absolu. Mais de là à insulter systématiquement un honnête journaliste qui n’a fait que son travail en dénonçant un fléau qui gangrène notre société est un pas de trop que tu as franchi.
Pour notre part, nous estimons que la radio Nostalgie pourtant la première radio privée de Guinée est tombée aussi bas. Nous nous abstenons de répondre donc à nos confrères de la Radio Nostalgie. Notre éducation oblige. Nous laissons la l’attitude aux respectables auditeurs de cette radio d’en juger.
Le même article a également soulevé le courroux du directeur du bureau de presse à la présidence de la république. Moussa Cissé, c’est son nom en bon juge et procureur de la république à la fois, a aussi demandé à la rédaction de fournir les preuves de l’existence de la drogue en Guinée.
A Monsieur le directeur du bureau de presse de la présidence de la République, nous ne pouvons malheureusement pas satisfaire à votre demande.
Avec ces menaces citées plus haut et bien d’autres qui sont de plus en plus récurrentes dont la rédaction de Guineelive est victime, nous attirons l’attention de l’opinion nationale et internationale sur tout ce qui arrivera aux journalistes de Guineelive.
La Rédaction
