Le moins que l’on puisse dire, c’est que la présidentielle du 18 octobre dernier n’a pas fini de livrer toutes ses violences, pardon ses secrets.

L’opposition au régime du Président Alpha Condé, le Front National pour la Défense de la Constitution et certains candidats malheureux à la présidentielle du 18 octobre ont appelé ce vendredi à entamer  une série de manifestations à partir du mardi  3 Novembre jusqu’au départ dit-on du Président Alpha Condé du pouvoir.

Apparemment, les appels au calme et à la retenue lancés aussi bien en Guinée que des Nations-Unies, l’Union africaine, la CEDEAO, les Etats-Unis, l’union européenne, entre autres sont tombés dans des oreilles de sourds.

Difficile de dire comment l’opposition au régime du Président Alpha Condé compte se tenir. La seule certitude, c’est que la présidentielle du 18 octobre dernier a été systématiquement dénoncée par les observateurs africains, la France, l’union européenne et les Etats-Unis.

Aussi, les observateurs nationaux aussi dénoncent le bourrage des urnes et surtout la remontée des procès verbaux qui ne reflète pas le résultat des urnes.

A propos, la commission électorale nationale indépendante, instance en charge de l’organisation des élections en Guinée a rejeté ses allégations, affirmant  à son tour que la remontée des procès verbaux n’a souffert d’aucune entorse.

 

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